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miércoles, 16 de julio de 2008

CHAPITRE 5 : UNE DOUCHE QUI PARLE N´EST PAS UNE DOUCHE ORALE


CHAPITRE 5 :
UNE DOUCHE QUI PARLE
N´EST PAS UNE DOUCHE ORALE

Le soleil se couche doucement à l´horizon. La journée a été facile et agréable et je prépare quelque chose pour manger. Même si on n’a pas trop faim il faut manger quelque chose. Je prépare une salade de pâte et une salade de fruits de mer pour toi. Le poisson c´est la nourriture obligée dans un environnement marin. Ça sent bon et tu viens m´aider. Tu viens m´aider pas parce que ça sent bon sinon parce que tout simplement tu le veux. Mais il n’y a pas grand-chose à faire.
J´écoute ton rire qui est ma musique favorite. Et c´est suffisant pour moi. Tu prépares la table sur la terrasse. Nous pouvons écouter les vagues et voir la mer. Eclairée par des petites lumières qui ne sont que les feux des bateaux déjetés dans la distance. Comme d´habitude je mange lentement.
Tu te moques de ma façon de manger.
Tu es près de moi et tes doigts cherchent mes épaules toute nues et tu fais tomber les petites bretelles de ma petite robe. C´est une façon de me déconcentrer et de jouer encore une fois. Parfois tu approches tes lèvres pour caresser mon cou et chercher la peau qui se trouve sous le tissu. Sous la table je caresse tes jambes. Tu murmures quelque chose et je souris. La chaleur monte. Apres une journée bien mouvementée on est fatigué tous les deux.
On décide de prendre une douche avant de se coucher. Mais avant il faut faire la petite vaisselle et tout bien ranger. Tu protestes un peu mais tu arrives à m´aider. Je ne supporte pas que la maison reste mal organisée la nuit. Tu connais mon coté maniaque et tu comprends. Avec le rangement il fait plus chaud même. C´est normal.
La douche nous attend. Elle porte ses lunettes de vision nocturne. Pour mieux nous observer. Elle respire la vapeur d´une orange tombée du ciel. Elle parfume la salle de bain avec jus de roses.
Tu entres et tu me fais entrer. Sans te presser tu me libères de ma robe et tu regardes mon corps nu. Les courbes de mes hanches, les parties plus visibles et moins visibles qui t´attirent. J´enlève ton t- shift et fais descendre et disparaître ton short. Tu me colles à ta peau et je peux apercevoir des géographies qui changent de mesure. Et de température.
Tu me prends dans tes bras pour rapprocher plus encore nos corps. Mes jambes délicates et fragiles se serrent autour de tes hanches. Je couvre de baisers ton visage, ton cou, tes épaules. Je ressens ton excitation forte qui nait de toi. La fleur la plus douce de ton corps change de couleur comme en son printemps privé et exclusif. Change de position. Change de régime. Des petites gouttes de plaisir se poussent à la porte pour charmer une possible ouverture. Ta petite fleur déjà pas si petite connaît son chemin. Mon corps se laisse séduire. Je te murmure:
-Entra dentro de mí. Te necesito mi pequeño príncipe.- Tu arrives a entrer. Je peux t´avoir en moi comme mon prisonnier. Tu adores ça. Je me sens plus libre toujours accrochée à ton cou pour bouger mes hanches. Pour aider à trouver le climax. Ou quelque chose de pareil. Pour profiter du moment. Si beau, si fou.
Tu me tiens et tu me diriges mais je me sens complètement fusionnée avec toi. On ne sait pas ou je finis, ou je commence. Une force qui vient je ne sais d´ou me donne l´énergie pour cette danse toujours nouvelle. Tu caresses mes seins. Tu les embrasses, au début très délicatement. Apres plus passionnément. Si on continue comme ça on va finir en dehors la douche et c´est pas ça que l’on veut.
Tu décides d’entrer sous la douche. On s´arrête un peu. Tu restes en moi comme j´aime. L´eau commence à tomber. L´eau est tiède. Délicate. C´est si bon de la sentir tomber sur la peau. Ton torse, tes épaules, tes cheveux. Encore je t´embrasse et je me concentre sur le point inventé pour moi. Pour créer mon plaisir. Pour te montrer ou il se trouve. Tu touches le centre rosé et dur de mes seins réveillés.
Ça m´excite énormément a ce point. J’émets un gémissement de plaisir et je cris avec une petite voix sensuelle qui t´excite aussi. Je bouge mon corps frénétiquement. Je te sens toujours dur et chaud. Insatiable et en feu. Subitement arrive un plaisir si fort qu’il me blesse. Mais c´est une petite douleur qui me fait presque perdre la conscience. Je cris encore une fois. Mon corps perd ses forces. Il a mâchée tous les climax de la terre en ce moment. Tu dois me tenir fort car le plaisir si fort me rend plus fragile encore.
-Abrázame…-Je t´en prie. Tu me serres dans tes bras. Et petit à petit je me glisse en reprenant mes forces. Je regarde ton corps qui a soif encore. J´embrasse ton cou, ton torse, ton ventre…je veux embrasser plus. Je descends pour chercher des lieux interdits. Qui m´attirent encore plus. Tu touches mes épaules et tu me regardes. Tu attends ton morceau de ciel. Et tu l´auras.
Je prends ta fleur transformé en colonne de miel, je la touche, je la tiens entre mes mains et je l´approche a ma poitrine. Avec la pointe je stimule mes centres rosés et solides. Je la place dans le centre. Je la frotte avec mes seins. Ça te guide à une excitation démesurée. Tu vois la beauté de mon corps bouger pour jouer avec toi. La vision t’amplifie la ferveur d´une façon incontrôlable. Je câline tous les cotés autour de ton centre. Je passe ma langue sur le tronc arrosé plusieurs fois. De bas en haut. Je prends la partie dominante dans ma bouche, très tendrement. Je la déguste et je peux entendre que tes soupirs. J’en fais entrer la totalité le en moi. Mes mains caressent tes masculines bourses timides et pleines de vie qui ne veulent pas qu´on les oublie. Je masse tout ça entre mes mains. Je dirige aussi ma bouche vers cette partie. Je passe mes lèvres sur elles. Je veux partager le protagonisme entre elles et ta colonne dure et sure d´elle-même. C´est très excitant. C´est beau de regarder cette partie de ton corps. Tendue. Prise par le bonheur. Prisonnière des nouvelles sensations. C´est comme une drogue dont tu ne peux plus te passer déjà. Je fais entrer aussi dans ma bouche tes testicules tendres et fragiles. Mais en sécurité et rébellion. Ton corps c´est une révolte totale. Je ne laisse pas une partie sans être touchée. Ta fleur dure reste entre mes mains si tes parties plus cachés sont dans ma bouche. C´est si beau car je sais que ça te donne le bonheur. Et je te sens extrêmement excité. Et c´est contagieux. La douche tremble de jalousie. Elle parle avec un accent d´étranger la langue de l´amour. De la sensualité. De la provocation. Elle nous parle à chaque goutte qu’elle nous fait tomber. Je prends en fin ton fruit solide dans ma bouche. Je sais que la fin arrive. Je le fais entrer et sortir. Marcher entre mes lèvres et ma langue plus et plus rapidement. Je goûte les petits morceaux liquides qui annoncent l´arrivée de ton climax. C´est comme une boisson délicieuse. Je continue comme ça jusqu´a sentir les convulsions, les tremblements qui me disent qu´un courrant de lait sucré et vivant arrive. Je l´attends. Je t´attends. Je le reçois fort, enthousiaste, passionnée, avec une pression des années. Ce liquide vient dans moi avec ton final fait de fièvres et spasmes que j´adore. Tu sens aussi tes forces partir. Et toucher le ciel. J´ai le goût de ton miel dans ma bouche.
Fatiguée, heureuse, satisfaite, je suis ton plaisir. Tu me prends encore dans tes bras. Et tu me serres très fortement. J´écoute encore la musique de ton cœur frappé fort contre ton corps. Contre le mien. La douche nous regarde. Elle ne dit plus rien. Elle nous écoute. Et elle nous attend pour une prochaine fois. Pour chaque fois que l´on voudra s’abandonner au plaisir. Le lit nous attend. Un lit qu´on utilisera que pour dormir. Et créer des nouveaux désirs pour la prochaine fois.

2 comentarios:

Anónimo dijo...

ou es sarko ?

Anónimo dijo...

sarko es dans une autre version.