BIENVENIDOS AL OLIMPO

domingo, 1 de junio de 2008

LA MER SE CACHE SOUS LES YEUX D´UN ORGASME


LA MER SE CACHE SOUS LES YEUX D´UN ORGASME

On est arrivé et un horizon de l’océan nous prévoyait. La lumière du soleil chatouillait l´eau. Un million de goûtes s´évaporaient avec la forme de petits papillons en or. Ils sautaient de la superficie au ciel. La vapeur bleue chantonnait différentes mélodies et concédait différentes densités a l´ambiance.
J´ai ouvert mon appartement et tout était de la même manière que je l´avais laissé la dernière fois. On a déterminé se balader.
La plage nous attendait. J´avais mis mon bikini jaune et un petit short qui tombait sur mes hanches et montrait mon nombril. Tu portais un short beige et une chemisette blanche et ample en coton.
L ´air faisait enlever le tissu car les boutons étaient seulement fermés les trois derniers. Ça laissait voir ton torse nu.
La force de l´air frappait la peau des rêves. J´ai pris un petit sac de plage avec la crème solaire et deux grandes serviettes pour s´asseoir sur le sable. Tu a pris le sac et ton bras a entouré ma taille pour nous approcher.
On a marché comme ça quelques minutes. Mes pieds nus touchaient le sable chaud et mouillé. Les serviettes ne se sont placées pas loin de l´eau et je me suis débarrassé de tout sauf le bikini.
Mon corps s’est agité sur la serviette. Tu me contemplais de ton coté et tu as pris la crème solaire. Tu dirigeais la bouche du flacon pour lancer le produit de loin en crayonnant des sensations sur mon ventre, le lieu que tu as décidé pour commencer.
Avec tes mains tu as assaisonné mon désir. Très doucement le liquide se mélangeait avec mes pores. Tu descendais de mon estomac a la partie la plus basse de mon ventre.
Ta bouche a cherché mes lèvres et je t´ai débarrassé de tes vêtements. Il n´y avait presque personne autour de nous. Mes bras ont entouré ton cou pour t´approcher un peu plus a moi. Ton maillot de bain gardait encore des émotions recourbées qui sautaient avec des ailes blanches. Le soleil soignait les gémir de ton espoir.
La température montait a travers de mes chevilles. On s´est levé pour se baigner. L´eau était tiède. Les crèmes des vagues nous recevaient. Comme je fais d´habitude j´ai couru pour me mettre a la partie plus profonde. Tu as préféré le contact avec l’eau plus petit à petit. J’ai plongé rapidement et nagé sous les vagues.
Je pouvais voir tes jambes s´approcher et marcher doucement. Comme un petit poisson je nageais autour de toi. Je jouais avec l’eau. Tes lèvres avaient le parfum du sel. Tu m’as serré entre très bras. J´ai mis mes jambes autour de ta taille. Je flottais et on était plus léger. Plus libres. Plus proches.
Je m´accrochais a toi et tu me donnais la pleine sécurité. Tes doigts cherchaient différentes parties de mon corps. Tes mains jugeaient mes fesses et tu me faisais monter juste pour avoir ma poitrine a l´hauteur de ta bouche.
Tu as séparé la partie du bikini que te dérangeait et ta bouche a entouré mes tétons réveillés et durs. Les goûtes dorées tombaient sur mes épaules nues. Tes yeux touchés par le soleil envoyaient la lumière du caramel aux nuages séparés par le nez du destin.
Mes lèvres brossaient l’humidité de ton plaisir sur ton cou, sur tes lèvres, sur tes yeux fermés. Je me glissais a travers toi aidé par l´humidité. Mon ventre contre ton ventre. Mon estomac contre ton estomac. Ma poitrine contre la tienne.
Sans savoir vraiment comment on a découvert une nouvelle géographie changée. Une nouvelle humidité qui n’avais rien a voir avec la mer. Une force qui montait et qui cherchait des lieux profonds de moi.
Ta force est arrivée jusqu´a cette petite porte que s´est ouverte tranquillement comme une fleur prête a être fertilisée. Mes hanches ont aidé à coïncider avec ta force. Mes bras toujours autour de ton cou me donnaient la possibilité de danser sur le feu de ton centre de plaisir. Ma taille s´approchait et se séparait avec la même intensité mélange entre passion et tendresse.
Les vagues venaient sur nos corps et frottaient nos sensations nouvelles et délectables. Ma mesure entre tes mains semblait être encore plus petite. Mes soupirs étaient seulement éteints avec tes baisers. Le rythme du début s’accélérait de plus en plus jusqu’à trouver cette lumière blanche qui mastiquait des mots d’amour qui n´ont jamais été prononcés.
Des mots d’amour inutiles et invisibles. Jamais dits. Jamais suggérés. Jamais réels. Jamais demandés.
Je pouvais sentir ta force dans moi au bord de l’exténuation. Sur le point d´un parfum plié. On a mordu le coin d’un univers perdu et on l’a dégusté jusqu’ à la fin. Nous savions que l’on avait rien à perdre et tout à gagner.
Tes mains poussaient mes hanches pour approfondir ton désir. Mon petit corps se perdait dans des convulsions intenses et la vibration d’un instrument vigoureux que tu dirigeais, touchait tout un monde érogène carré et allongé sur le jardin du plaisir.
Nos corps faisaient bouger la mer et le mouvement était si fort que l’on faisait apparaître une mousse blanche et verte. Chaude et forte. Dans un des entrées on n’a pas vu la sortie. Et un pays d’inondation s’est passé dans moi. La force était presque violente. Mais douce et gentille.
Je t’ai cherché encore et je t’ai retenu dans moi. Tu a bien aimé être mon prisonnier. Tes baisers courraient sans se presser sur ma peau. Et la mer s´est contaminé de ce climax et a tremblé sous nous pieds. On a su en ce moment que la mer n´était pas du tout a côté du sexe. Que même elle était multi orgasmique. Elle venait de le savoir. Grâce a nous. Sûr, grâce a nous.

1 comentario:

Anónimo dijo...

Que bueno!
Que el olimpo se haya puesto en la onda erotica...
Los lectores suspiraban detras de estos escritos...