BIENVENIDOS AL OLIMPO

lunes, 3 de marzo de 2008

TOUT MORAL




TOUT MORAL COMME UN FANTASME

You are right, toujours moral. Comme un fantasme. C´est pas une chose étrange. Comme les parfums des orangers au printemps à seville.
La musique bossanova sons partout très très douce. Presque personne ne peut l´entendre sauf toi et bien sûr moi. Car c’est moi qui l´a l’ai prise du coin d´une étoile.
Tu arrives. Tard. Mais pas trop. D´une compagnie aerienne qui n´existe pas. Mais qui arrive toujours comme il faut. Il aterris toujours sur la mauvaise piste d´aterrisage trompée mais ne s’est jamais écrasé
Je te vois arriver. De tes yeux sortent des poèmes rondes. Qui chantent avec un accent de pluie. Tu es gentil. Toujours moral. On parle et tu ecoutes tout ce que je dis. Tu me regardes très concentré.
On est dans mon petit salon. Pas trop grande. Mais très accueillante Très rose. Très plein de trous. Au chocolat. Avec des nuages. Collés sur les murs. Avec des recettes pour parler à Shakespeare.
Quand tu parles je peux sentir ton parfum. Ta belle voix. C´est rassurant. La chambre change la couleur. Teint orange. Tout couleur orange. Les rideaux sont oranges. Les murs sont oranges.
La porte se ferme seule et tu me ramenes à toi. Tu caresses une partie de mon cou. Tu passes la main très doucement sur ma peau. Dans un langage que l’on n’écoute pas. Je fais les reponses que tu attends de moi. Mes doigts très doucement caressent ta peau. Ta chemise s´ouvre un peu. Pas trop. Tes mains arrivent à ma taille et mes hanches. Je ferme mes yeux et ma respiration commence à etre plus agitée.
Une des bretelles de ma robe tombe. Ta bouche cherche mes épaules et tu embrasses ce petit coin de mon corps. A l´ouverture de la robe se montre un morceau de mon soutien gorge transparent. Ma poitrine bouge avec la force de mon coeur. Tu caresses le tissus que laisse voir comme se reveillent les deux petits bombons rosés, les pointes de mon plaisir.
Sans le vouloir ils se font durs et probablement plus grandes. Il y a un esprit vivant dans mes seins. Esprit vivant plein de force que qui attire et que est attiré . Je perds davanatge mes forces chaque minute qui passe.
Mes lèvres cherchent ton cou. Ma partie preferée. Très douces, très sensuelles, mes lèvres se balladent sur ta peau. J’ouvre la chemise très lentement. La chaleur de ton torse si masculin laisse plus ouverte mes envies. Préfabriquées.
J´explore, j´examine, je dessine. Avec la pointe de mes doigts. J’arrive de ton cou à ton ventre. Je dessine des lignes avec mes mains tièdes. Avec mes lèvres.
Tu poses tes mains fortes sur mon dos et colles mon corps contre ton corps. Je peux sentir tant des choses. Des choses qui bougent. Qui s’approchent, qui gonflent. C’est un plaisir étrange. Tu me prends dans tes bras et on se trouve une petite table. Petite mais forte.
Une table qui est arrivée exprès pour nous. Du pays des tables féeriques. Elle se trouve au centre de la chambre. Tu me poses assise sur elle. Ça me donne plus posibilité de chercher, à coincider avec ta bouche. Sentir tes lèvres sur les miennes pour la première fois. Et c’est si doux.
Pouvoir caresser ta bouche avec un de mes petits doigts aussi. Sentir la douceur et chercher avec ma bouche un de tes doigts. Pouvoir tester son goût. Le mettre entre mes lèvres et jouer avec toute la douceur du monde. Et sentir que ça t’excite plus. Et au meme temps sentir que le temps de reflechir est fini. Que c’est un rêve ou on peut tout faire. Rien n’est interdit. Il n’y a pas la distance. Il n’y a pas les soucis. Il n´y a pas les autres. Il n’y a qu’un fantasme . Et une petite table. Elles sont nos priorités.
On n’a pas peur. Le peur reste dehors. En dehors du rêve. En dehors d’une nouvelle explosion. Differente. Ou il n´y a pas de déception. Il n´y a pas des choses à faire. Il n´y a pas des obligations. La seule obligation c’est avoir le plaisir d’etre l’un avec l´autre.
Le temps s’arrête. Tout s’arrête autour de nous. Il n´y a pas la distance. Les habitudes. Les langues. La seule langue est la mienne qui cherche ton torse nu. Qui cherche les parties plus ardentes. Qui cherche les parties plus sensibles. Et qui recherche les reactions.
Tu m’approches plus et plus. Je peux caresser tes oreilles. Avec ma langue petit à petit.
La chemise tombe par terre. Mon soutien gorge aussi. Ma robe aussi. Ma taille entre tes mains. C’est facille. On peut sentir ma fragilité et je sens la force nouvelle. Je caresse encore ton ventre nu. Et je cherche de nouveaux mondes. Pendant que tu caresses mon cou. Et ça me fait perdre la conscience. C’est trop bien. C’est moins moral.
Je peux sentir avec mes mains une autre partie de ton corps. Reveillée. Pour la première fois je ressens cela. Tu détiens ma poitrine entre tes mains.
J’ai un petit oiseaux sous mes mains. C’est chaud. C´est plein de force. C’est prêt à exploser en petits morceaux de sucre. Prêt à exploser en petit morceaux d’étoiles au chocolat miniscules.
Je ne demande pas ton autorization pour laisser libre ce petit soleil placé dans son corps. Je peux aussi ressentir comme sa force s´evanouit aussi. Un peu. Il a le control que j’ai deja perdu. Mais il commence à le perdre lui aussi. J’ai avec moi ce nouvel astre. Et je peux jouer avec. Doucement.
En même temps je ne cesse de gouter comme le plat le plus delicieux, ta peau. Ton cou, ta bouche. Je mange petit à petit avec mes lèvres, avec ma langue, la plupart des morceaux de ton corps. Et j’ai avec moi un grand trèsor très vivant. Très chaud. Très loin d’être contrôlé.
Par hasard la distance se fait exacte. Ce petit soleil cherche sa place. Et sa place se trouve dans moi. Et je veux le sentir. Je veux sentir en moi toute l´energie que donne une étoile. Connaitre ce que j’ai pas connu avant. Ou ce que j´ai deja connu mais qu’on veut connaître autrement.
Il connait son chemin. C’est facile. Tout se glisse à son arrivée. C’est comme marcher sur une mousse. Ma respiration se fait plus forte. Mes soupirs se font de fraise. Et je peux te sentir en moi.
Je m’accroche a ton cou avec un nouveau peur de plaisir. Tu rentres en moi avec douceur. Je m’allonge sur la table et tu caresses mon ventre, mon estomac, ma poitrine. Je cherche tes mains avec ma bouche et je peux caresser encore une fois tes doigts. Les succer un par un.
Je bouge mon petit corps pour augmenter le plaisir. Je m’approche avec la force de mes hanches qui font une danse nouvelle. Ma taille bouge aussi à son rythme. Avec un mouvement different qui rend tout plus dificile. Plus dificile de contrôler une explosion. Plus dificile de mesurer le plaisir.
Tu regardes mon corps bouger. Comme une petite vague. Ma peau douce et tiède, mes poitrines levées, mes soupirs le font exploser sans le faire. Tu caresses mes jambes flexibles qui changent la position de ses rêves.
On change le ryhtme. Tu fais la presion si douce sur mon ventre, sur ma taille, j’arrive a m’approcher, encore à chercher ta bouche. Je cherche ton cou encore une fois. Je cherche les parties dures aussi avec ma langue. Doucement. Mais avec passion. Sans peur.
Je me sens possedée. Je fais plus intenses mes baiser, mes caresses, mes paroles douces qui sussurrent des mots especiaux. Avec tout ça, les caresses sans fin, les baisers, les soupirs...une explosion reste très proche. Et la mienne aussi.
Je peux t’entourer de mes jambes. Comme ça je connais plus mon corps. Je sais comment exactement arrivent les sentiments plus forts. Je bouge mes hanches contre toi. Avec ma petite force. Avec une flexibilité que j’invente pour ce moment. Avec un rythme de danse nouvelle. Tu parles un peu, en sussurrant des mots, je peux presque crier. Je m´accroche davantage.
Je suis plus et plus rapide car mon corps a trouvé un coin ou le plaisir est né. Ou le plaisir est fait. Un coin inventé pour ça. Que je connais. Que c´est juste pour toi : un rêve.
Ce coin caressé une et mille fois fait que mon corps s´evanouit de plaisir. C´est trop grand. C´est trop fort. Je perds mes forces. Mon corps s´ouvre complètement pour me reposer apres avoir senti une telle force.
Tu continues à chercher plus de lumiere. Plus de chaleur. Mais on peut continuer. Je m’allonge encore une fois. Tu reprends le contrôle de la force. La latitude. Le parfum. La pression. Le rythme. Tu te sens plus libre. Plus proche de toucher la pointe de la lune.
Ton corps demande les morceaux de chocolat. Il demande arriver à son but. Le rythme est plus coloré, plus fort, plus vite, plus véhément. Comme dans la plus forte explosion que l’on aie eu jamais. Mais rien de violent. Rien de mots forts. Rien que du plaisir. Rien que de l’humidité dans moi. Une bombe d’ étoiles liquides arrivent et je veux les sentir. C´est fort. C´est doux. C’est presqu’une douleur magique. De petites convulsions de ton corps qui est entré en moi.
Je cris aussi avec cette certitude d´y avoir mis une bonne galaxie de plaisir. Tu te calmes. Moi aussi.
C´est si bon de t´avoir comme ça. Tout calme. Sans pression. Relaxé. Fatigué. Exténué. Heureux. Et je m´approche de toi. Douce. Tranquile. En securité. Tu es la. C´est ton rêve. Tu es avec moi. Et c’est tout simplement comme ça. Tu as raison. Et c´est tout moral.

5 comentarios:

Anónimo dijo...

Que ce soit en francais, en anglais ou en espagnol, les empreintes ses empreintes sont présentes. Agiles, graciles et fugaces comme l'imagination débordante d'une femme douce et fragile et ferme. Dominant l'art du rythme et de la futilité utilement perceptible...
Merci sara, tu nous fais rentrer dans ton univers vice versa ou touts'anime et bouge au gré du rêve..Il est très délicieux de te lire

Anónimo dijo...

great

Anónimo dijo...

hola tita. chulo,guay

Anónimo dijo...

Would you like to marry me?

Anónimo dijo...

C'est si bien dit ...Si bien fait...au moins je suppose...Comme le rêve...comme l'amour...peut-être